Mercredi 6

Les sommets sont couverts, ce n'est pas le bon jour pour monter sur les sommets. On va voir une cascade dans la vallée derrière le campement.

Sur les mules
Pique-nique devant la cascade

Camp
Dans la toundra

On revient par la rivière, et on trouve un appareil photo, qui a dû faire un long séjour dans le limon. Il y a des pellicules intactes, mais elles sont vierges, et l'appareil a pris l'eau, donc on ne pourra pas la faire développer pour voir si la dernière photo est un gros plan sur la gueule d'un ours...

On rattache toujours les chiens un peu avant le camp, j'en prend un, c'est amusant, il tire très fort tout en étant facile à diriger (ce n'est pas un chien de taineau pour rien). L'un des deux a fait le pôle nord avec Jean-Louis Etienne.

Jeudi 7
Le temps est de nouveau beau pour notre deuxième « grande » randonnée. Cette fois, on monte sur la crête au-dessus d'Eckman

Panorama
Superbe panorama (utilisez la barre de défilement horizontal si vous ne voyez pas tout)





Video
Cairn



NKob
Un des rochers sur la crête

Au sommet, il y a un couple de lagopèdes (sorte de faisan) avec deux petits. On attache les chiens pour qu'ils ne les mangent pas (la semaine d'avant, ils ont boulotté l'oie que le groupe avait commencé à apprivoiser...).

Pique-nique au sommet, avec une vue sur les glaciers environnants...

On repart, petite pause pour faire un cairn, puis descente dans les pierriers. Homing au GPS sur les bottes qu'on avait laissées dans la toundra.



Vendredi 8


Quelques courageux (Pauline et Elise, Véronique et Pascal, Myriam) osent la baignade dans l'eau à 7°.
On fait un dernier tour en kayak devant le glacier, je prends un kayak monoplace car Olivier prend un biplace avec Suzanna qui a mal au bras. Pas de chute de glace ni de phoques pour nous dire au revoir...

L'autre groupe a marché sur la plage, on se retrouve près du front du glacier. On pique-nique sur la plage, rapidement car il fait froid. Je perds une couronne en mordant dans un Lion (il fait froid, donc le caramel est plus dur...). Véronique me la remet en place, plus de peur que de mal.

On passe les kayaks au groupe 2, et on va patauger dans la moraine. On monte sur le glacier une dernière fois.

Le « Polar Girl » est ponctuel, 22h00. Cette fois, la mer est calme.

Samedi 9

Lever tardif, on monte sur le sommet au-dessus de Longyearbyen. Il y a des mergules nains sur la falaise.

Pour le repas du soir, Olivier nous a préparé des steaks de baleine, ça ressemble un peu à de l'autruche.

En soirée, on va au pub, qui a une collection d'alcools impressionnante. Comme on est samedi, il y a des gens du coin, qui offrent à boire à toutes les filles du groupe.

Deux jeunes norvégiens proposent d'aller à la boîte du coin, je les suis avec Pauline, Elise et Nicolas (du groupe Eckman). Mais les filles n'ont pas leur carte d'identité, on ne peut pas rentrer. Retour au gîte.

Dimanche 10

Lever à 10h car il faut libérer les chambres pour 11h.

Un petit tour au musée, avec l'histoire des trappeurs et des mineurs, la géologie et la faune locale.

L'après-midi, on sort de Longyearbyen à la recherche de rennes, qu'on finit par voir au dernier moment alors qu'ils sont presque sous notre nez.

Le soir, au va au restaurant, belle table ronde, c'est pas donné (en règle générale, les prix sont le double des prix en france).

Ensuite, on va au pub, mais il n'y a personne car ici, les gens ne sortent pas s'ils travaillent le lendemain. On reste jusque vers 2h, puis on va attendre le moment de partir au gîte.

Lundi 11

On prend donc l'avion à 4h00, puis changement à Oslo, et enfin arrivé à Paris dans la canicule (40° !), qui dure depuis 2 semaines. On a choisi le bon moment pour aller au Spitzberg, d'autant qu'on a eu un temps exceptionnellement beau.


 

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